La musique sur le web, jamais rentable? L’avenir pour le piratage?

20Avr - by Hebdoblog - 1 - In Musique & Livre

Je vous invite à  lire cet article sur lemonde.fr qui titre « La musique sur Internet est-elle condamnée à  être piratée ? »

Selon cet article, il semble qu’à  part iTunes, l’avenir des autres canaux d’écoutes ou de distributions ne soient pas assurée.

Bizarrement il existe des dizaines de solutions pour écouter et télécharger de la musique (je parle d’offre légale là !), elles sont souvent de très bonne qualité, je pense à  l’offre récente de spotify, ou encore à  Deezer, last.fm ou jiwa pour l’écoute en ligne, en ce qui concerne les magasins en ligne on trouvera en plus du magasin d’Apple celui de la fnac par exemple.

Certains acteurs du marché de la musique pensaient sans doute qu’avec l’arrivée des plateformes d’écoute de musique, l’argent allait couler à  flot, il n’en est rien, ce n’est pas la sécheresse mais pas loin!

La phrase la plus étonnante de cet article est sans doute celle-ci:

Pour le tube de l’année sur Deezer, un titre de rap écouté 240 000 fois, nous n’avons reversé que 147 euros aux musiciens ! »

La petite histoire de la musique c’est une affaire à  suivre!

Si les acteurs du monde de la musique n’arrivent pas à  proposer une vraie offre aux internautes, le piratage aura de beaux jours devant lui.


One thought on “La musique sur le web, jamais rentable? L’avenir pour le piratage?”

  1. oui c’est vrai et c’est pas forcemment la faute à  qui l’ont croit.
    Jonathan Benassaya l’un des fondateurs de Deezer disait sur l’emission Dialog (http://www.clubic.com/actualite-271280-dialog-deezer-mobile-point-wimax.html) que 5O% des revenus de la platforme étaient reversés aux organismes (SACEM…y en trop), ce qui laisse pas vraiment beaucoup de marge pour develeopper le site et par consequent l’offre legale (ça cricri Albanel a peut etre oubliée de le dire…). L’article du monde mentionne que 70 % des revenus du service de la fnac sont reversés à  ces mêmes organismes, et il faut ajouter à  cela last.fm qui est passé en mode mastercard depuis peu, plus le foutage de gueule cosmique d’itunes qui fait payer certaines chansons plus d’1€ (l’album une fois telecharger revient plus cher qu’la fnac) et youtube qu’on essaie de sucer jusqu’a la moelle. Le vrai probleme dans tout ça c’est que les demandent des ayants droit (toujours plus gourmands),vont au-delà  des possiblités economiques de ces plateformes légales et au bout d’un momment, même quant on s’appel google et bien on ne peut plus suivre.

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