The Narcoleptic Dancers « Not Evident EP » – Vidéo, photos

24Mai - by Hebdoblog - 1 - In Musique & Livre

C’est marrant mais dès que j’ai eu entre les mains cet EP j’ai eu la sensation de partir dans les années 70 (vu mon age je ne peux pas dire « Retourner dans les années 70).

Des couleurs plutôt pâles, des personnages aux tenues incroyables ( 😉 ) et des coupes de cheveux très année 70 très singulières!

Heureusement pour nous la musique confirme cette ambiance si particulière, on est bien accueilli par une musique douce, des paroles poétiques et optimistes, tout ce que l’on aime, de la fraicheur à  l’état pur, et POP!!!

Aujourd’hui leur premier album est en préparation et on est impatient de le découvrir!

Mais au fait, d’où vient ce DUO?

C’est sans aucun doute leur histoire qui leur permet aujourd’hui de nous proposer une telle musique.

« The Narcoleptic Dancers » n’est en fait pas un nom choisit au hasard, c’est un hommage à  leur père qui était surnommé comme cela par la presse sportive en raison de sa coupe de cheveux singulière et son dribble nonchalant, leur père était un footballeur néerlandais.

Leurs influences sont très variés,de The Breeders aux Tings Tings, en passant par Grizzly Bear, Radiohead, Kate Nash, Atlas Sound, The B52’s ou Young Marble Giant, des influences qui annonce un album électro pop ou encore des ballades folk et des chansons pop.

En attendant c’est bien le 28 Juin 2010 qu’arrive cet EP, The Narcoleptic Dancers « Not Evident EP ».

Au fait, vous les avez peut-être déjà  entendu à  travers des pub, retrouvez deux vidéos ci-dessous pour les écouter avant même le 28 juin.

Et pour aller plus loin, voici leur histoire qui vous est contée par d’autres que moi:

Johnny Van Kappers est un footballeur néerlandais. Il connut une carrière météorique de joueur professionnel dans les années 70. En 1978, il est prêté par son club du HFC Haarlem à  l’AS Saint-Etienne pour une saison. A l’occasion d’une grande fête organisée le soir de la dernière journée de Championnat, la veille même de son retour, arrive ce qui devait arriver : une rencontre furtive mais passionnée avec une supportrice stéphanoise. C’est ainsi que naît Anton Louis Jr à  Saint Etienne un beau jour de 1979. Il est élevé avec amour par sa mère. La figure paternelle est celle de son grand-père. Tout petit, sa voix est exceptionnelle. Son grand-père, chef de choeur, lui transmet la passion du chant et l’amour du travail. Il apprend à  dompter sa voix. Anton sera musicien, chanteur et humaniste. Johnny Van Kappers est retourné chez lui à  Haarlem. Il est devenu manager du HFC. En 1989, il épouse la fille unique du président du club, professeure de piano et violoncelliste de son état. Fruit de cette union, Melody Van Kappers naît en 1990 à  Haarlem. Ses parents tombent amoureux d’un petit moulin dans lequel ils s’installent et montent avant l’heure une boutique de produits d’origine naturelle (pas encore appelés « bio »). C’est ici que grandit Melody. Une enfance heureuse et sans histoire passée entre le jardin et les instruments de musique. Une enfance nourrie aux légumes du potager et aux chansons folk qu’affectionne sa maman. Toute petite déjà , Melody le sait, elle sera musicienne, chanteuse et végétarienne.

Ce n’est qu’au tout début des années 2000 que Melody et Anton se rencontrent, à  l’occasion d’une fête de famille à  Haarlem, autour du patriarche Johnny Van Kappers. Il se sait condamné d’une tumeur à  la jambe. Il decide de réunir toute sa famille à  Haarlem, une dernière fois. Surtout, encouragé par sa femme, il souhaite rencontrer ce fils qu’il n’a jamais connu. Anton est bouleversé. Bouleversé et soulagé. La première rencontre de Melody et Anton est fugace et troublante. Ils n’arrêteront jamais de s’écrire. Ce n’est qu’aux obsèques de Johnny un an plus tard qu’il revoit Melody. Il est triste d’avoir perdu son père mais heureux d’avoir retrouvé une famille. Ils se découvrent une passion commune : la musique.

Sinon, rendez-vous sur MySpace


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