THE AMPLIFETES, premier album éponyme

18Juin - by Hebdoblog - 0 - In Musique & Livre

The Amplifetes c’est un mot totalement inexistant avant leur arrivée, mais évidemment on voit apparaître derrière ce nom inventé le verbe  » amplifier  » et ce n’est pas par un hasard.

The Amplifetes se plait dans les sommets et en allant toujours au fond des choses, on a droit à  des beats qui dynamitent les chapelles musicales et les hymnes dancefloor, des Basses dopées aux acides (rien que ça), refrains power-pop, synthés montés sur ressorts, et tout simplement un son surpuissant.

D’ailleurs vous connaissez peut-être déjà  The Amplifetes avec leur single It’s my life (à  écouter ici).

Mais au fait qui sont vraiment ces quatre garçons Peter, Jonback, Tommy et Korpi qui dégagent autant de puissance dans la musique ?

Peter est originaire d’une petite ville du Nord de la Suède, Falun, tout comme Jonback, ils écoutait de  » la musique avec des tripes. Les Sex Pistols en avaient. ELO aussi « .

Tommy est né à  Gothenburg comme Korpi et a découvert la musique avec Johnny Cash et Status Quo, dont les riffs monotones annonçaient l’hypnotique musique de club pour laquelle il se passionnerait plus tard.

Et forcément ils ont grandi dans des maisons où tout le monde jouait de la musique, ça aide pas mal pour en faire ensuite, ça sert de déclencheur.

Jusqu’alors c’est dans l’ombre d’autres artistes pour qui ils écrivaient des chansons que The Amplifetes à  oipéré dans la musique, ils auront écrit pour Grandmaster Flash, Madonna, Peter Bjorn & John et Kelis.

Ils en ont gardé un certain art de la mélodie accrocheuse et de l’efficacité mainstream, vous l’aurez remarqué dans le clip It’s my life, une musique qui finit par vous controler en commençant par votre esprit pour ensuite activer les jambes, un truc incroyable se dégage de leur musique, une musique qui sort de l’analogique, de vieux synthés, de logiciels, et d’instruments organiques (guitares, glockenspiels, harmoniums indiens, cithares et autoharpes).

Si  » It’s my life «  est un tube électro rock qui ironise à  peine sur notre époque moderne, la vie dans une grande ville et les codes de la coolitude actuelle, avec ses paroles que ne renierait pas Bret Easton Ellis :  » My TV’s from Taïwan, and The Jacket from Sweden, I Got these Sneakers from Spain, But I don’t even need’hem, It’s my li, li, li, li, life « ,  » Somebody New «  leur nouveau single à  écouter ci-dessous est un pop-song vitaminée aux BPM à  la mélodie d’une évidence confondante façon Daft Punk rencontre Police dans un pub de Memphis (j’aime bien cette image).

Une sorte de dialogue autour d’un projet de road trip entre deux personne dont on ne sait rien, on embarque pour une voyage vers une boite de nuit aux remontées mi acides (house) mi (groove) psychédéliques où les punks et les rockeurs peuvent pactiser sur la piste de danse (j’aimerais bien voir ça en vrai).

Ce nouvel album qu’annonce ce clip tournera autour de l’electro-pop-rock décomplexée empruntant à 
toute l’histoire de la musique et ne manquant de faire réfléchir entre deux danses/pogos sous la boule à  facette. Avec quelques ballades pour reprendre son souffle…

Une musique bien imagée, pour décomplexé les pires danseurs, une musique que l’on attend avec impatience.

Et comme dans The Amplifetes, il y a aussi  » amplis  » , et bien tampis pour les voisins, mettez le son à  fond, et laissez vous envahir par cette musique venue du froid qui va surchauffer vos envie de musique !

Maintenant, place à  ce clip  » Somebody New « !

Ecoutez les toujouts plus sur MySpace

Le nouvel album sort en septembre, on en reparle après l’été.


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